Au cours de 6 derniers mois, DANIDA, ActionAid, et 2 associations maliennes de la société civile, AME et AND accompagner par la CVJR et ses services du développement social ont travaillé sur des questions de justice traditionnelle, de paix et de cohésion sociale avec les jeunes et les personnes affectées par la crise multidimensionnelle que travers notre pays le Mali. Ce lundi 14 novembre 2022 à Bamako, ActionAid a organisé une cérémonie de clôture pour présenter à l’assistance les résultats, observations et leçons apprises engrangés pendant la mise en œuvre de ce projet.
« ActionAid finance des projets à travers DANIDA. Ce projet travaille sur des questions de justice traditionnelle, d’accès aux droits humains mais également de paix et de cohésion sociale et bonne gouvernance sont des moyens pour aider le pays à sortir des difficultés », précise la directrice de ActionAid Mali. D’ailleurs, c’est pourquoi le projet mis en œuvre est intitulé : « jeunesse active en contexte du crise ».
En effet, les jeunes et les femmes sont le plus affectées lors des situations de conflits et de crises. Il s’agit de doter les jeunes en capacités de technique de mobilisation et d’activisme. Aussi, de faire connaitre le mandat de la CVJR et inviter les gens à aller faire leur déposer. Après 6 mois d’exécutions du projet, la directrice ActionAid confirme que l’objectif du projet est atteint. Pour elle, les atteintes sont comblées dans le sens où par exemple, il connaisse mieux les personnes avec lesquelles ils vont désormais travailler s’il y’avait un lacement d’une deuxième phase d’une part, et d’autre part, il connaisse également quel service technique il faut aller davantage ou bien les personnes déplacées qui sont là, quelles sont leurs besoins primaires au-delà de la question du besoin alimentaire ?
Selon Ousmane Diarra, président l’association malienne des expulsés (AME), est une association qui intervient pour la défense de droit des immigrants et des personnes déplacées. Dans le cadre de ce projet, l’AME est intervenu pour la cohésion sociale, pour former des assemblées citoyennes et pour faire un suivi psychologique. « Nous avons senti que les personnes déplacées sont psychologiquement atteint », dit-il. Aussi, il ajoute, un suivi de très près avec d’autre organisations comme AND pour pouvoir leur rendre dans leur dynamique de développement, pour cela, AME AND, ActionAid sont ensemble pour effectuer se travaille. Pour le président de l’AND Idrissa Niankilé, les activités qui ont été réalisé dans le cade de ce projet par l’AND sont entre autres, la formation des jeunes déplacés et les jeunes qui ne se sont pas déplacés, sur le mandat de la CVJR sur l’intérêt de déposition sur le processus de paix et réconciliation.
Kossa Maïga
Handara